Les filières de la pornographie africaine gagnent du terrain et ses tristes lettres de noblesse en Europe, et surtout en France. Spécialisées de plus en plus dans les pratiques extrêmes, zoophilie, scatologie, urologie, elles semblent ne plus avoir de limite.
En effet, piégées par des annonces juteuses de mariage sur des sites Internet, dans des tchats, ou par les pages « Correspondances » de certains magazines, de nombreuses jeunes filles africaines se retrouvent dans des réseaux de pornographie en Occident. Mais, souvent, le corps de ces jeunes femmes crédules, impuissantes, devient un jouet obligé d’accepter les pires scènes immondes donnant libre cours à la perversion de l’homme. Des scènes, avec des animaux, des excréments, des pointes acérées et autre cire de bougie qui reviennent à 4 500 euros l’heure (3 millions de FCFA). Jetées innocentes dans ce monde, certaines ne veulent plus en sortir. Par appât du gain facile. Des K7 dont elles sont les « héroïnes », ont leurs clientèles, leurs lieux de distribution et un marché qui prospère en douce. Cs K7 mettant des africaines en scène de la zoophilie ou autres pratiques sexuelles ont pris un essor considérable et sont prisées par une clientèle spécialisée. Les gérants des magasins de vente de films X racontent qu’il y a six ans environ, ils n’écoulaient que dix à quinze K7 par semaine, mais que ce nombre qui a considérablement augmenté. Propos confirmés par la présidente de AIDE Fédération, Amély-James Koh Bela, auteur du livre « Prostitution africaine en Occident, Vérités, mensonges, esclavage ». Elle parle de « boom de la zoophilie africaine… Lors de mes enquêtes, j’ai remarqué que, pour le seul mois de septembre dernier, il y avait dans un magasin parisien spécialisé, pas moins de douze K7 mettant en scène des Africaines avec des animaux de toutes sortes. Et de conclure, toute abattue : « Et dire que le marché est porteur ! ».
Et là où le bât blesse, c’est que comme le dit Philippe Auzenet, « personne ou presque ne réagit contre les dangers d’une telle marée noire qui s’étend sans faire de bruit ».
L’industrie pornographique est devenue omniprésente jusqu’à tout envahir (magazines, chaînes de télévision, sites internet, supports vidéo…) sans réaction politique proportionnée de la part de nos gouvernants.
L’industrie pornographique a notamment sa « vitrine légale » dans les kiosques ou les rayons des magasins. Avec des filières du vice plus souterraines, comme la drogue et la prostitution (pornographie classique, zoophilie, homophilie, pédophilie, homosexualité, etc.), cette industrie entretient aussi un commerce très juteux qui spécule sur le péché et la perversité sexuelle sans peur de s’attaquer aux plus jeunes, de les appâter et de les exploiter ignoblement. Quelques statistiques déjà anciennes ont été données dans l’émission de télévision « Le sexe dans tous ses états » du 18 février 2010 sur « TF1 » : 266 sites pornos s’ouvrent chaque jour dans le monde ; 80 % des ados ont déjà visionné des films pornos (dont un enfant de 10 ans sur trois) ; 372 millions de pages pornographiques sont vues chaque jour dans le monde ; 750 000 pédophiles sont connectés en permanence sur internet auquel ont accès trois foyers sur quatre, 74 % des 11-18 ans y passant trois heures par jour…
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